L’erreur à éviter : trop épiler les sourcils /avoir le sourcil touffu
Le sourcil donne du caractère au visage, il renforce son expression : le sourcil trop épilé, trop arqué ou trop rond donne un air de Betty Boop lunaire. A l’inverse, le sourcil broussailleux peut donner l’air renfrogné et surtout négligé.
La solution : On élague ce qui dépasse, mais en gardant une ligne cohérente, fournie mais bien délimitée. On fait place nette des poils qui ne veulent pas rentrer dans le rang mais sans trop affiner le trait.
Le sourcil donne du caractère au visage, il renforce son expression : le sourcil trop épilé, trop arqué ou trop rond donne un air de Betty Boop lunaire. A l’inverse, le sourcil broussailleux peut donner l’air renfrogné et surtout négligé.
La solution : On élague ce qui dépasse, mais en gardant une ligne cohérente, fournie mais bien délimitée. On fait place nette des poils qui ne veulent pas rentrer dans le rang mais sans trop affiner le trait.
L’erreur à éviter : placer l’ombre à paupière directement sur la peau.
Au risque de la voir migrer en quelques heures dans les plis des paupières et de vous donner un air zébré parfait pour aller au cirque.
La solution : il faut préparer une toile de fond sur l’œil, ou bien en appliquant un fixateur (sous forme de crème ou de gel), en poudrant la paupière (en même temps que le teint) ou en appliquant une ombre à paupières « couleur peau » pour unifier la peau de la paupière. Cette « sous-couche » va permettre à la couleur de se fixer et tenir toute la journée.
Au risque de la voir migrer en quelques heures dans les plis des paupières et de vous donner un air zébré parfait pour aller au cirque.
La solution : il faut préparer une toile de fond sur l’œil, ou bien en appliquant un fixateur (sous forme de crème ou de gel), en poudrant la paupière (en même temps que le teint) ou en appliquant une ombre à paupières « couleur peau » pour unifier la peau de la paupière. Cette « sous-couche » va permettre à la couleur de se fixer et tenir toute la journée.
L’erreur à éviter : les couleurs primaires
Si la mode est au bleu lavande, au vert émeraude ou au jaune poussin en aplat sur toute la paupière, on fait son deuil et on accepte d’être has been. On laisse ces excentricités aux pré-pubères.
La solution : Si l’on veut absolument utiliser une couleur flashy, on le fait avec légèreté, en touche sur la paupière mobile, mariée avec des tons beiges ou taupe pour fondre le tout et ne pas avoir l’air d’avoir utilisé la palette de maquillage Barbie de sa petite sœur.
L’erreur à éviter : maquiller en bleu les yeux bleus, en vert les yeux verts, etc. Si la mode est au bleu lavande, au vert émeraude ou au jaune poussin en aplat sur toute la paupière, on fait son deuil et on accepte d’être has been. On laisse ces excentricités aux pré-pubères.
La solution : Si l’on veut absolument utiliser une couleur flashy, on le fait avec légèreté, en touche sur la paupière mobile, mariée avec des tons beiges ou taupe pour fondre le tout et ne pas avoir l’air d’avoir utilisé la palette de maquillage Barbie de sa petite sœur.
Le pire étant d’assortir son mascara a sa couleur de pupille. A moins d’être restée bloquée en 1982.
La solution : jouer sur les couleurs complémentaires qui elles, font ressortir la couleur de l’iris. Les mauves pour mettre en valeur le vert ou le bleu, le gris qui convient à tous les yeux, les cuivrés pour faire ressortir les yeux marrons.
L’erreur à éviter : les fards à paupières irisés
A utiliser avec précaution pour ne pas voir ses paupières transformées en écailles de poisson géantes.
La solution : On peut utiliser un fard irisé sur l’arcade sourcilière, pour agrandir le regard, mais pas plus, merci.
A utiliser avec précaution pour ne pas voir ses paupières transformées en écailles de poisson géantes.
La solution : On peut utiliser un fard irisé sur l’arcade sourcilière, pour agrandir le regard, mais pas plus, merci.
L’erreur à éviter : le crayon khôl qui migre…
et qui fait de petite boulettes noires dans les coins des yeux.
La solution : on évite le khôl l’intérieur de l’œil, puisque, avec les larmes qui humidifient l’œil, il sera entrainé vers la sortie. Ou alors, on vérifie l’évolution du maquillage plusieurs fois dans la journée pour nettoyer là où ça fait des paquets.
et qui fait de petite boulettes noires dans les coins des yeux.
La solution : on évite le khôl l’intérieur de l’œil, puisque, avec les larmes qui humidifient l’œil, il sera entrainé vers la sortie. Ou alors, on vérifie l’évolution du maquillage plusieurs fois dans la journée pour nettoyer là où ça fait des paquets.
L’erreur à éviter : les cils en pattes d’araignée.
Avec un mascara trop épais (les « volumateurs » le sont le plus souvent), on a du mal à séparer les cils et ils restent agglomérés avec un effet « moucheron » pas vraiment sexy.
La solution : on choisit un mascara « allongeant » ayant une texture plus fluide et une brosse moins dense, ou on essuie l’excèdent de produit avant l’application en pinçant la brosse avec un kleenex (on peut remettre le produit qui reste sur le papier dans le tube), ou encore on sépare les cils avec une vieille brosse de mascara nettoyée qui servira désormais de peigne démêloir.
Avec un mascara trop épais (les « volumateurs » le sont le plus souvent), on a du mal à séparer les cils et ils restent agglomérés avec un effet « moucheron » pas vraiment sexy.
La solution : on choisit un mascara « allongeant » ayant une texture plus fluide et une brosse moins dense, ou on essuie l’excèdent de produit avant l’application en pinçant la brosse avec un kleenex (on peut remettre le produit qui reste sur le papier dans le tube), ou encore on sépare les cils avec une vieille brosse de mascara nettoyée qui servira désormais de peigne démêloir.
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